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Acquisition 2022......A découvrir d'autres œuvres en octobre dans l'espace l'artothèque


Sam LEE

             

Une grande partie de son inspiration vient du paysage et de l'observation de la lumière dans l'endroit où il vit et où il travaille. Il cherche souvent des matériaux quotidiens simples qui, non seulement reflètent son intérêt pour les choses ordinaires, mais aussi peuvent influencer ou suggérer la direction qu'il va prendre. Parfois le travail artistique commence à partir d'un intérêt visuel ou tactile simple pour le matériau lui-même (même la disponibilité des matériaux tels que des objets trouvés). Des installations ont été faites avec du papier d'aluminium, du bois, de la cire, des objets trouvés et du fil, et l'objectif de la caméra a capturé et ajouté un si grand nombre d'oeuvres que cela lui a permis d'explorer plus en détail les idées d'une manière qu'il ne pouvait pas faire avec la peinture.

Des moments fugaces de la lumière et de la forme l'ont conduit dans des directions inattendues et même renvoyé à ses installations et ses sculptures.
Depuis 2015 il est revenu à ce milieu de la gravure pour son propre travail. L'estampe est un langage naturel d'expression pour lui avec le processus du dessin, des lignes et des marques qui est peut-être le coeur de tout ce qu'il fait.



Laurent Sfar / Christophe Léman Perucca


Laurent Sfar , vit et travaille à Paris. Il enseigne à l’Ecole des Beaux-Arts de Toulouse. Il utilise tous les supports opportuns pour interroger l’environnement social et la fonction des objets, souvent mise en faillite. Il transforme les situations, crée des perturbations, distord l’échelle des objets, pour introduire l’espace d’un échange, d’une mise en relation autour de l’oeuvre.


Laurent Sfar commence à exposer au milieu des années 1990, s'associant régulièrement avec d'autres personnes, dont l'artiste Sandra Foltz (entre 1995 et 2002). Ses travaux plus récents proposent des « lectures spatialisées » sous forme d'installations. Depuis 2015, il collabore avec Jérôme Dupeyrat pour La Bibliothèque grise, projet qui conjugue recherche et expositions, notamment autour des pratiques éditoriales et pédagogiques. Il enseigne à l’École nationale supérieure d'architecture de Normandie.



Gaspard Mineron

          

Originaire de Lozère, le dessin était avant tout un moyen de m'extirper de cette zone reculée, de voyager et sortir de ces paysages magnifiques mais enclavés. Depuis mon enfance et aujourd’hui encore, je réserve une place importante à ce moyen d’expression que j'exerce de différentes manières… Utilisation de la plume, du crayon, du cutter, de l'ordinateur, la gravure ou encore la sérigraphie. Ma pratique est multiple mais elle est toujours dirigée par cette idée du dessin.

C’est durant sa formation artistique aux Beaux-Arts de Toulouse que j'ai véritablement entrepris le dessin en noir et blanc. J'ai passé beaucoup de temps dans l’atelier de gravure où j'ai pu m’initier à différentes techniques comme l’eau-forte, la pointe sèche ou encore la gravure d’épargne. Cette absence de couleur m'a révélé l’importance de la lumière et j'ai ainsi pu découvrir dans la carte à gratter, un moyen de faire naître des formes par la lumière. La carte à gratter c’est une plaque cartonnée dont la surface est recouverte d’une couche de noir qu’on vient gratter avec la pointe d’une lame de cutter pour faire ressortir les blancs sous-jacents. Ce travail à d'ailleurs fait l'objet d'une publication dans le magazine d'art "le quatrième tiers".



Véronique Bellan



Née au Québec (Canada), Véronique Béland vit en France depuis bientôt dix ans, où elle a été diplômée du Studio national des arts contemporains le Fresno(Promotion Michael Snow, 2010-2012). Elle est également titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal.

Sa pratique artistique, qui gravite entre les arts médiatiques et la littérature, s’intéresse à des phénomènes imperceptibles à échelle humaine, dans une tentative constante d’ausculter ce qui semble vide pour en révéler le contenu. Par divers protocoles de traduction ou de transcodage, ses oeuvres cherchent à faire contact entre le visible et l’invisible, d’où en jaillit une certaine forme de narration.




Rahma Naili

   

Rahma Naili est une artiste plasticienne née en 1991 à Bizerte. Diplômée de Institut Supérieur desBeaux-Arts de Tunis (master de recherche en arts plastique en 2016), elle choisit la gravure commediscipline principale mais elle pratique également le dessin, la peinture et la performance.
Sa démarche artistique repose sur une esthétique de la fragilité où elle cherche à atteindre ce quireste caché derrière les apparences, âme des objets et des personnes qui entourent. Elle utilisenotamment le papier pour transmettre la part éphémère qui habite chacun de nous. Lui faisantsubir toutes sortes expériences (collage, peinture, gaufrage ,gravure, impression, ...) à l'image decelles que chaque personne traverse dans la vie.

Elle a participé à une résidence artistique un an à la Cité Internationale des Arts à Paris (2018-2019).Jeune artiste internationale, elle a pris part à de nombreuses expositions : aux Journées artContemporain de Carthage, au Festival internationale art féministe de Tunis et à la foire 21x21 deBarcelone. Plus récemment, son travail a été présenté à la seconde édition des NouveauxCollectionneurs qui s’est tenue à l’Espace Voltaire, ainsi qu’à la biennale internationale de la Gravurede Sarcelle.




Sandra Ghosn

     

Le travail de Sandra Ghosn se situe au croisement du dessin, du texte, de l’installation artistique et de la bande dessinée. Si l’on définit la bande dessinée comme un dispositif séquentiel où la case, telle une lettre de l’alphabet, est porteuse de signification par sa juxtaposition à d’autres cases, chaque dessin de Sandra Ghosn narre, quant à lui, une histoire autonome.

Aussi, une pluralité d’intrigues se déploie au coeur de cette oeuvre qui s’apparente à une autofiction en construction perpétuelle.Née au Liban pendant la guerre civile, l’artiste se familiarise très tôt à la vie souterraine des abris.Là où le bruit capitonné des bombes et la promiscuité transforment l’épaisseur du papier en un espace transitionnel privilégié. Dans ce cadre violent, l’empiètement discursif devient la norme. Se met alors en place un mécanisme d’altération de la mémoire à l’origine d’un effet « trou ».

Et tandis qu’une guerre représente généralement un affrontement de récits à la recherche d’une version officielle, celle du Liban en est dépourvue puisque tous ses acteurs se retrouveront plus tard au sommet de l’État. Sandra Ghosn amorça alors une investigation du côté des images et fut marquée par la découverte de la carte d’un Liban dessiné par la France en 1916, lors du plan de partage colonial franco-britannique des accords « Sykes-Picot ». Face à la densité de l’Histoire, l’artiste reprend le contrôle par la carte dont elle remplit les blancs à l’encre de Chine. Le trait qu’elle trace à la plume métallique gratte la surface du papier, révélant, tel un protocole shamanique de recouvrement d’âme, des parts ensevelies de sa propre mémoire.




Antonio Segui



Il arrive en France en 1951 pour étudier la peinture et la sculpture. En 1952, il part aussi étudier en Espagne. En 1957, il fait sa première exposition individuelle en Argentine. En 1958, il effectue un long voyage dans toute l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, avant de s’installer au Mexique, où il étudie les techniques de la gravure. En 1961, il retourne travailler en Argentine, avant de partir définitivement à Paris en 1963. Il vit aujourd’hui à Arcueil dans l’ancienne propriété de Emile Raspail.


Au début de sa carrière, influencé par des artistes comme George Grosz ou Otto Dix, il pratiqua une figuration expressionniste d’où se dégageait de l’ironie. Peu à peu, sa figuration évolua vers l’absurde, construisant une sorte de théâtre sur la scène duquel s’ébat un homme en mouvement, recherchant sa place dans le monde. La facétie et l’humour supplantant l’angoisse existentielle, il tente d’orchestrer à sa façon les espoirs et les folies d’une comédie humaine, ironique, faussement naïve et inquiétante. Les militaires de la dictature argentine finirent par l’interdire de séjour :




Olivier Rocheau



Olivier Rocheau est né en 1975 à la Rochelle. Plasticien, son travail a été gratifié par de nombreuses expositions/installations (en France et en Allemagne), prix et commandes (privées/publiques). Ses œuvres, immédiatement reconnaissables, hors normes, colorées, généreuses offrent différents niveaux de lecture et dégagent toujours un sentiment très fort… Elles interrogent matières et couleurs entre abstraction et esthétisme…


Cette écriture spontanée, qui joue avec les codes de l’enfance donne à voir, paradoxalement, un univers abouti, sophistiqué, rigoureux. L’artiste met en forme, met en place, via un vocabulaire particulier, une architecture, une ossature, dans leurs plus stricts dénuements... Entre ascèse et flamboiement, un « monde minimaliste» cohérent, toujours renouvelé qui prend tournure entre l’installation urbaine, patrimonial et environnementale dans un souci éco-environnementale évident.



 
   Glen Baxter



Connu pour ses dessins surréalistes et absurdes, il pratique aussi bien le dessin de presse (en France, le journal Le Monde l’a publié à plusieurs reprises) que la bande dessinée.

Glen Baxter a suivi les cours du Leeds Collège of Art. Ses dessins, ainsi que les textes qui les accompagnent, s’inspirent de la pulp fiction et des comics avec des références et des plaisanteries intellectuelles. Reconnaissables à leurs traits simples, ils montrent en général des cowboys, des gangsters, des explorateurs ou des écoliers, qui prononcent des propos savants et incongrus en rapport avec l’art et la philosophie.

L’œuvre de Glen Baxter a été rassemblée dans plusieurs livres, et son travail a été publié par le New Yorker, Vanity Fair ou The Independent on Sunday.




Guillaume Chiron



Guillaume Chiron est un artiste pluridisciplinaire, musicien et plasticien. Né en 1977 dans l’ouest de la France, il se passionne pour le dessin dès le plus jeune âge, peint, publie des fanzines et organise des concerts. Il s’inscrit à l’EESI, Ecole Européenne Supérieure de l’Image de Poitiers en 1997 et en ressort, le DNSEP en poche, en 2002. Ces années lui permettront notamment d’exposer à la galerie du Triangle à Bordeaux ou à l’Ircam à Paris.


Après une brève expérience en tant qu’enseignant en Arts Plastiques, le Confort Moderne, lieu mythique de foisonnement artistique, centre d’art et salle de musiques actuelles, lui propose en 2003, un poste de chargé de l’action artistique et culturelle qui évoluera en 2015 en poste de Curateur Education Recherche. Il y développe notamment un programme de création artistique qu’il intitule “Rencontre du 3ème type”. A ce jour, trois éditions ont été réalisées, parmi lesquelles un projet est particulièrement remarqué dans les médias. Celui-ci ont donné lieu à un disque et un documentaire. Le bon coin forever, création collective menée avec le musicien Emile Sornin du groupe Forever Pavot.



Fred Calmets




Artiste peintre / Graphiste / Plasticien. Autoditacte. Fred Calmets commence à peindre sur les murs, dans la rue. Grâce à ce mode d’expression, il découvrira le milieu urbain : son univers, son architecture, ses codes, son esprit, sa magie, la ville et ses habitants...


Fred peint le plus souvent des toiles, avec pour sujet principal les femmes, actives, sportives, pendant une pause, entre deux rendez-vous ... Une vision de la femme contemporaine, partagée entre les stéréotypes véhiculés le plus souvent par la pub, le web, son univers citadin, et des instantanés de vie( drôles, frais, fascinants, étranges, ultraféminisés...). A tout cela viendra s’ajouter son amour de “la femme”, l’univers de ses proches, sa vie, ses fantasmes, et surtout l’époque dans laquelle il s’inscrit en tant qu’artiste.




Patrick Condouret




Qu’ils prolifèrent dans l’espace sous une forme monumentale ou se présentent comme autant de petites sculptures combinant objets et matières hétéroclites, les assemblages de Patrick Condouret « contaminent » l’environnement qui les accueille. Les fils et les cordes surtout, lorsqu’ils s’effilochent ou composent un réseau, les matériaux de récupération, les matières non identifiables font osciller les frontières de ses œuvres entre équivoque spatiale et délimitation ostensible. Ce faisant, il poursuit le travail qu’il a entamé en 2000 et, à la galerie Bernard Ceysson, présente un ensemble de sculptures.



Amas de cordes ponctuées d’indéfinissables et récurrentes céramiques, grilles comme garnies d’une chevelure d’artifice, reliefs minimaux, où des lambeaux de plastique semblent ingurgiter l’air avoisinant, sublime coquillage renfermant ses secrets sont autant de territoires floutés gagnés sur le lieu.
Patrick Condouret bricole des objets fortuits, s’amuse de leur expansion et de leur reflux, en fige l’état à des stades d’élaboration qui mettent toute tentative de leur donner une signification d’ordre anecdotique hors-jeu.

Informations pratiques

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Médiathèque François Mitterrand - 4, rue de l'Université CS 70619 86022 Poitiers Cedex - Tel : 05 49 52 31 51.

 
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