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DAVIES Richard

Né en 1945 au Pays de Galles et décédé en 1991.

Biographie

 

Trop tôt disparu en 1991 à l’âge de 46 ans, Richard Davies laisse un œuvre gravé de tout premier intérêt, comptant près de 170 estampes et monotypes. Sa maîtrise des procédés de gravure en taille-douce, en noir et blanc, est au service d’une inspiration et d’un imaginaire personnel et original. Alliant douceur et acidité, Davies met en scène des personnages dans le décor de la rue, de la gare, du bistrot, du cirque, du bal, dans des atmosphères en suspens, empreintes d’une immense solitude. Davies ne manque ni de lucidité ni de cynisme. Suivant les scènes dominent le grotesque, l’humour ou l’ironie, mais toujours demeurent la tendresse et la sensibilité.


Davies grave souvent jusqu’à douze états avant de parvenir à l’état définitif. Cette succession permet de voir l’œuvre en train de se faire. Plusieurs exemples sont ainsi montrés, en particulier : Perséphone, pièce dans laquelle la figure mélancolique de la déesse sort mystérieusement de l’ombre, au cours des cinq états à la manière noire. L’admirable maîtrise technique de Davies lui permet de mêler avec subtilité l’eau-forte, l’aquatinte, la pointe sèche et la manière noire. A l’instar d’Edward Hopper. Davies affectionne les clairs obscurs, il manie l’ombre et la lumière avec virtuosité. Paris, ses rues et ses bistrots sont sa première source d’inspiration : Le Petit comptoir près de l’atelier Tazé, le marchand de bonbons d’En hiver, le Boulevard en automne... Le midi est également présent : Avignon, dans la Gare dans le sud, et Saint-Christol-de-Rodières avec le Soir les gens du quartier…


Davies est également fasciné par le cirque (Du destin d’une petite foraine, ou encore la Vaillante petite écuyère immobilisée en l’air pendant son saut), et par le bal, le tango en particulier (Sugar tango, Un soir de la semaine). En 1980, Davies écrit une Comptine bureaucratique, avec un portrait hommage à Erik Satie et cinq gravures, dans lesquelles apparaît la figure du sphinx, symbole de l’attente énigmatique.

 

 

L’œuvre de Davies est en effet particulièrement saisissante pour l’ambiance, l’atmosphère, qui baigne ses estampes : silence, immobilité, attente. Nous entrons dans univers où le temps semble figé, le geste arrêté, suspendu. Les personnages de Davies sont surpris en état de rêverie, assis ou au balcon, regard dans le vague. Le sentiment de solitude nous submerge. La dimension visionnaire, spirituelle, envahit les ultimes gravures de Davies. Les personnages, presque pleine page, deviennent des archétypes : Tobie et l’ange, Je te bercerai, Le Fleuve, sont des visions nourries de mythologie, presque bibliques. Le thème du passage, dans la Traversée (1983) inspirée d’un poème de Sylvia Plath, et dans La Maison et le fleuve (1989), poursuit Davies jusqu’à sa dernière gravure, de très grande taille, restée inachevée : Charon.

Source : BNF, exposition Richard Davies

 

A . B . C . D . E . F . G . H . I . J . K . L . M . N . O . P . Q . R . S . T . U . V . W . X . Y . Z

 

œuvre

Silver moon memories
Estampe [47 x 65 cm] 
Cote : 221 ANO

oeuvre

 
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