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acquisitions 2017

Enrico Floriddia

Né en Sicile en 1984.Études littéraires à l’Università degli Studi di Catania en Italie.Diplôme en Photographie à l’École Nationale Supérieure Louis-Lumière, Paris.TAP en Photographie à l’ École Européenne Supérieure de l’Image, Poitiers

Photographie, architecture, espace.

En employant une approche documentaire, il conçoit la photographie en tant qu’outil pour questionner l’espace public et son occupation. Parmi les questions qui ont animé sa recherche photographique on trouve : la déambulation dans l’espace urbain (Eurrue, 2009 ; Slanted 2009-10) ; le patrimoine architectural et les enjeux de sa conservation (Tout doit disparaître, 2012 ; Eravamo in salento e non abbiamo visto il mare, 2014) ; le développement des quartiers résidentiels en France (Agglo, en cours).

Cette production photographique est ensuite intégrée à une réflexion sur la diffusion et la perception de l’image multiple. Dans les dispositifs de monstration, les images deviennent un matériau mis à disposition du public pour être manipulé (Carta Bianca, 2011 ; Tout doit disparaître, 2012.

 

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Pierre Besson

Pierre Besson a entrepris d'explorer le potentiel narratif de la simple image photographique et de se positionner davantage comme metteur en scène dans son rapport à la production d'images. Par conséquent, l'artiste appréhende le décor dans sa dimension narrative et se plie aux contraintes (délivrer le maximum d'informations dans un espace restreint) d'un scénario improbable. La théâtralité dans la photographie ne prend pas ici la peine de détourner le public de ses propres fictions. Au contraire, elle l'invite à participer à un engagement imaginatif à partir de son propre référentiel.

 

Erwan Venn

Artiste français né en 1967, vit et travaille à Châtellerault

Le décoratif, l’ornemental et les atours domestiques de la nostalgie constituent le champ de manœuvres d’Erwan Venn. Volontiers joueur et taquin, il perturbe l’ordre des choses, en anime les calmes surfaces et révèle ainsi, à la manière de vanités contemporaines, la fragilité de l’être et l’enfance comme un état d’esprit sans cesse écorné par le temps qui passe.

Artiste utilisant tous les médiums (dessin, peinture, sculpture, photographie, infographie, vidéo, film d’animation…), Erwan Venn invente un univers très singulier, à la lisière des arts plastiques et des arts décoratifs. Hanté par le motif, sa répétition, son incidence dans notre vie quotidienne (sur le papier peint par exemple)

En fouillant dans les souvenirs de son enfance, Erwan Venn retrouve des jouets, des disques, des motifs de papiers-peints et un autoportrait griffonné sur une feuille de cahier, où il s’exprime via une bulle de bande dessinée : « Je suis con et je m’appelle Erwan ». L’ensemble de sa pratique artistique repose sur une exploration mémorielle et sensible. Pour cela il questionne son éducation, ses fondations, ses références, tous les ingrédients d’une construction personnelle, intime.

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Dominique Spiessert

Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Tours

Dominique Spiessert peint sur tout et n'importe quoi, donnant une seconde vie à des toiles insolites. Des paquets de cigarettes, des assiettes, des petits formats ou des grands... En couleur ou en noir et blanc. Inspiré par les gens, les animaux ou son enfance dans le milieu du cirque, il trace des dessins plus ou moins abstraits, souvent énigmatiques.... Il y a les œuvres drôles (proches de la caricature), ou celles illustrant des poèmes.

Dominique Spiessert s'illustre aussi dans l'art mural ayant notamment réalisé une fresque à l'hôpital de Blois. Dans ces moments-là, la priorité est d'apaiser le public, que le dessin crée une ambiance chaleureuse et intimiste, que ces longues courbes noires enlacent l'espace avec grandeur et poésie... Alors que sur les petits formats, on est plus dans le loufoque, l'incongru avec un univers qui pourrait être dingue des dessins animés. Sur les plus grands, souvent en couleur, on peut imaginer de grandes portes ouvertes vers un lointain paradis...

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Emilie Lorioux

 Emilie Lorioux, vit travaille à Poitiers
Le travail d'Emilie Lorioux s'articule autour de la notion de fragment.
Elle compose ses dessins à partir de photographies personnelles ou d'observation in situ, et représente ses souvenirs et son environnement par un procédé d' « extraction-composition ».
Elle extrait divers éléments à valeur symbolique qui, pour elle, identifient le sujet, et les rassemble.
Elle crée ainsi un ensemble déséquilibré et peu cohérent en apparence, alors qu'il représente pour
elle l'essence même du sujet.
Elle fait un parallèle entre son expérience d'épileptique et son travail.
En effet, l'épilepsie impacte sur son quotidien, puisque les quelques absences qu'elle provoque chaque jour, amputent de certains éléments les moments qu'elle vit. Ses souvenirs sont alors
fragmentés, comme peut l'être la composition de ses dessins.
Ces représentations de ces scènes rappellent dans leur conception, le tracé irrégulier de l'électroencéphalogramme d'une personne épileptique, avec une continuité ponctuée de pics d'activité. La continuité représentée par la ligne et les singularités par chacun des éléments disparates dans la feuille.

Site de l'artiste

 

 

 

 

Petra Mrzyk & Jean François Moriceau

 

Virtuoses du dessin au trait où s'enchaînent les figures inspirées de l'inconscient et issues de la culture populaire, Petra Mrzyk et Jean-François Moriceau mettent en jeu une variété de formats et de supports. Développée à quatre mains depuis 1998, leur œuvre propose un regard décalé, proche de l'esprit surréaliste, sur le monde réel autant que sur la pratique du dessin lui-même.
Les travaux de Mrzyk et Moriceau ont été présentés dans des expositions monographiques en Espagne (Caixa Forum, Barcelone), en Allemagne (Schnitt Ausstellungsraum, Cologne), en Suisse (Mamco, Genève) et aux Etats-Unis (LACMA, Los Angeles). Ils sont présents dans de nombreuses collections publiques, dont le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris avec une peinture murale visible en permanence.

Site des artistes 

 

 

 

 

 

 

 

Guillaume Goutal

Guillaume Goutal en balisant lui-même le champ de sa pratique entre les Ready-Made de Marcel Duchamp et le palais idéal du Facteur Cheval, interroge sans cesse l'espace qu'il peut occuper dans l'élaboration d'une œuvre contemporaine. Pareille position en échappatoire engendre un processus d'élaboration particulier de l'œuvre, proche des "rencontres" chères aux surréalistes, chacun des éléments pouvant remplacer le précédent ou le suivant. Les pièces de bois ainsi élaborées par un bricolage savant tutoient l'artisanat, tandis que d'autres, moulages en résine d'objets manufacturés, tutoient le bricolage. Le point d'équilibre recherché semble bien être celui-ci, entre l'aspect brut des pièces et leur apparente finitude : ni trop méticuleuses, ni totalement bricolées, ni objets relevant entièrement du design, ni objets totalement délivrés de leur fonction d'usage.

Site de l'artiste

 

 

 

Bruno Peinado

 

L’œuvre de Bruno Peinado apparaît comme une des plus emblématiques de la jeune génération d'artistes contemporains. S’inscrivant dans une histoire du collage comme geste d’appropriation du réel, Bruno Peinado manie avec virtuosité de nouveaux modes de montage par hybridation, mixage, métissage, sampling. Ce recyclage des produits culturels occidentaux provoque des collisions inédites dont les chocs produisent des œuvres énergiques qui se livrent avec optimisme sans cacher les réalités qu’elles sous-tendent. La plus célèbre de ces œuvres est le Bibendum marron à la coupe afro et au poing.

 

 

 Virginie Barré

 

Née en 1970 à Quimper. Après son DNSEP à l’École supérieure des beaux-arts de Nantes, elle y a effectué un postdiplôme en 1998.
Virgine Barré dit appartenir à «une génération d’artistes assez décomplexée», postérieure aux appropriationnistes des années 80: «Je suis pour une pratique consciente et désinvolte de l’art et cela convoque et déjoue la question de l’auteur — parfois mieux vaut se comporter comme une Indienne Piegan avec crânerie et hardiesse!»
« Virginie Barré escalade les genres et les époques et se livre à des emprunts tous azimuts dans les coffres des histoires de l’art et les malles de la culture populaire. Les indiens Hopi chevauchent des fauteuils de Mies van der Rohe, les suffragettes côtoient les blondes platines d’Hitchcock dans des mises en scène arrêtées, des instantanés de récits non élucidés. Ses dessins, collages et mannequins, présentent des jeux d’échelles tronquées et des alliances d’éléments hétérogènes qui donnent au travail une dimension onirique, oscillant entre veine burlesque et dramaturgie macabre. » 

 

 

Quentin Faucompré

 

Quentin Faucompré est un artiste français né à Saint-Nazaire en 1979. Son médium principal est le dessin. Il décline autant celui-ci au travers d'expositions, que de publications (bandes dessinées, recueils de dessins), de vidéos ou de performances. Son trait souple, minimal, avec une prédominance pour l'arrondi, est mis en tension avec la violence et le malaise des situations dessinées. Le travail de Quentin Faucompré questionne l'idée de représentation, de variations, et de repères formels ou moraux. Cette approche n'exclut pas l'usage d'un humour incisif.Le rapport au religieux, à la psychanalyse, et à la prestidigitation, est omniprésent.

En parallèle à son travail artistique, il est l'un des initiateurs avec Frédéric Déjean et Guillaume Dégé, du Orbis Pictus Club, structure atypique explorant la scène graphique contemporaine (Guillaume Pinard, Stéphane Calais, Willem, Armelle Caron, Damien Deroubaix, Martes Bathori, Julie Redon, Jeff Ladouceur, Daniel Johnston...), alternant expositions collectives et éditions d'estampes et de multiples.

 

 

 

 

 

Jean-Jacques Ostier

 

Jean-Jacques Ostier (1945 - 2011) né à Saigon, Vietnam. Au début des années 1990, il peint de manière abstraite, en technique mixte, des minéraux ou leur agglomérat, montagne, pain de sucre, terril. Dans la seconde moitié de ces mêmes années, il devient portraitiste d'animaux, puisqu'il s'attache exclusivement à leur visage et non à leur démarche. Il en arrive à ne les saisir qu'en gros plans de têtes, l'âne dépressif, la vache ahurie, le chimpanzé pensif, le coq en alerte, et même l'escargot sur sa feuille de laitue qui remplit toute une grande toile. Les fonds sot noirs ou or, sans l'impassibilité des icônes.

 

 

 

 

CATLAC (Thibault Nieudan et Fabienne d’Oddaz)

 

CATLAC est un duo composé de Fabienne et Thibault, deux artistes amoureux de la vallée du Giffre qui travaillent principalement en milieux naturels.
Leur démarche vise à mettre en valeur la poésie d’un lieu ou d’une situation par le biais de photographies auxquelles s’ajoutent parfois du son ou du texte. Leurs réalisations actuelles s’interrogent sur les liens qui unissent l’histoire personnelle d’un individu à son environnement.
La nature immédiate, la rigueur de l’environnement et de ses habitants se sont d’évidence imposées comme sources d’inspiration majeures. Dès lors, la montagne, le patrimoine caché et l’histoire oubliée des lieux qu’ils parcourent inlassablement sont devenus les guides d’une approche singulière du territoire.

 

Site des artistes

 

 

Miwa Ohara

 

Après une école de photo au Japon et treize années d'images en studio ou de spectacle, en 2010 elle prend la direction de Paris puis de Poitiers pour y étudier le français et se lancer dans une recherche artistique sur le thème du corps et de la nature.
« Sous les cerisiers »
Sous le titre de « Sous les cerisiers » Miwa présente un travail graphique très épuré. « Sous les cerisiers » (1927) en lien avec un texte de l’écrivain Motojirō Kajii décrivant les ruminations morbides d’un suicidaire, s’ouvrant sur un passage devenu proverbial au Japon :
« Sous les cerisiers sont enterrés des cadavres ! Il faut s’en persuader. Sinon, n’est-il pas incroyable que les cerisiers fleurissent si splendidement ? J’étais inquiet, ces jours-ci, parce que je ne pouvais croire en cette beauté. Mais maintenant j’ai enfin compris : sous les cerisiers sont enterrés des cadavres ! Il faut s’en persuader. » Motojirō Kajii

 

 

 

Alexandre Clerisse

 

Il se dirige vers la Bande Dessinée en 2003 en entrant à l’École Supérieure de l'Image, d’Angoulême. Il y rencontre Tony Neveux et François Henninger avec qui il conçoit la revue collective « Le Mouchoir » (BD pliable). L’année suivante il réalise collectivement avec Tony Neveux et Violaine Cousty la maquette et la communication de l’exposition au "Fil du Nil", la revue annuelle de l’ESI. C’est avec la mention félicitations du jury qu’il décroche son DNAP, Bandes Dessinées en 2005. Une de ses pages part à Pékin participe à l’exposition « Traité des images liées et des fumées parlantes ». Toujours avec l’équipe du Fil du Nil, il réalise le plan du 33ème festival de la BD d’Angoulême 2006. On commence à découvrir diverses publications dans la presse et dans des magazines comme "Choco Creed", "Tobogan" et autre presse locale. À la même période, il rencontre un de ses auteurs préféré, David Prudhomme, qui lui propose de mettre en couleurs « La farce de Maître Pathelin », aux éditions de L’an 2.

 

 

 

 

Céline Guichard

 

 

Céline Guichard fait de la peinture sur de grands formats carrés ! Puis se met à dessiner. Elle s’intéresse aux nouveaux outils de création, son travail s’en trouve radicalement changé, s’ensuit une importante production d’infographies. Ses travaux ont été exposés, entre autres lieux, à la librairie Un Regard Moderne, la galerie Le Cabinet d’amateur, la galerie Da-End… Céline Guichard a réalisé lors d’une première résidence à la Maison des auteurs un livre illustré pour adultes, Mum, paru en 2009 aux éditions Marchand de feuilles. Elle y est revenue en 2010 pour un projet de narration graphique au titre évocateur Balade mystique et sauvage. Son travail s’appuie sur ses souvenirs d’enfance à la campagne, ses obsessions pour la biologie humaine et animale, l’anormalité, l’univers du rêve, la transgression…

 
 

Informations pratiques

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Médiathèque François Mitterrand - 4, rue de l'Université CS 70619 86022 Poitiers Cedex - Tel : 05 49 52 31 51.

 
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